Espace pro

Nos dernières actualités

Nous ne savons pas que développer une application, nous savons aussi écrire.
Retrouvez ici les dernières informations que nous voulons constructives, simples et parfois drôles.

Tout
onetip
Professionnels
Particuliers
onetip
2 min de lecture

On est passé sur Radio France Bleu

Émission de Radio France Bleu sur onetip. Comment offrir un pourboire quand les pièces ont disparu.

Lire l'article

Ce matin, je suis au bureau il est déjà très tard, 8h10. En effet j’ai déjà bien attaqué la journée, après avoir couru 11 kilomètres j'ai pris une douche et englouti un petit déjeuner de roi, j’ai répondu à plus de 68 e-mails, rédigé pas moins de 4 newsletters et programmé 14 posts qui seront diffusés tout au long de ma journée.

En fait j’ai tout lu Besos, j’ai tout écouté Musque, j’ai tout bu Jobe et tout idolâtré Gâte. Tous sont d’accord pour dire : lève-toi tous les jours à 5 heures du mat, bois ton extrait de latchétaï, fais ton footing de 12 kilomètres et à ce moment-là, ce moment-là seulement, alors que la ville dort encore, tu seras le roi du monde.

Ouais ben ils sont sympas mais là, il est 8h15 et je crois que je vais aller faire une petite sieste. Ce n’est pas que je n’apprécie pas d’être le roi du monde, mais je ne voudrais pas réveiller ma cour. Elle est belle ma cour. Chui crevé moi. Bref, il est 8h15, je suis debout depuis 2h30, mais pas parce que j'ai tout bien fait comme les dompteurs de licornes, non, juste parce que parfois je dors pas, voila.

Et donc au moment où j’allais réfléchir dans un canapé prévu à cet effet, le téléphone sonne :

-      Oui bonjour, vous êtes Olivier ?

-      Oui c’est moi. Bonjour.

-      Oui bonjour. Je vous propose de venir demain matin présenter votre application à Radio France Bleu lors de notre émission « La nouvelle éco », cela vous dit ?

À ton avis mon ami ? Mais bien-sûr que je suis super d’accord.

-      Oui bien sûr, je serais enchanté. Avec grand plaisir même.

-      Super, alors à demain, 6h45 dans nos bureaux.

Mais ils sont fous. Quand je disais que j’avais tout lu Besos, c’était pour rire, moi à cette heure je me lève tout juste. Même mon chat, à cette heure, a encore du mal à faire la différence entre sa litière et mes espadrilles c’est pour dire. Bon, à 15h00 aussi il ne fait pas plus la différence.

-      Très bien je serai là à 6h45, je peux même être là un peu plus tôt si vous voulez ?

Je ne suis pas un bel hypocrite moi ?

-      Non inutile de venir trop tôt, 6h45 c’est bien.

Ha parce que 6h45 c’est pas trop tôt ? Tu appelles ça comment toi cette heure ? Le milieu de matinée ? Non mais t’as raison, à la limite demain matin, pas trop tôt, je vais faire une première fournée de baguettes chez mon pote boulanger et après je vais livrer les croissants au café de la gare et ensuite je viens faire l’enregistrement de l’émission vers 6h45. Et si j'arrive un peu trop tôt, je ferai des pompes et une série d'abdos histoire de me renforcer.


Et donc le lendemain à 7h15, à l'antenne, en pleine forme et surtout super content de présenter onetip à Radio France Bleu. Une équipe au top. D’ailleurs je vous laisse regarder la redif en lien.

À très bientôt,

Olivier, Happyness Rédacteur chez onetip

onetip
2 min de lecture

onetip #5: Aller se faire battre !

Avant de se lancer tête baissée, tel le taureau entrant dans l'arène, contrairement aux autres projets...

Lire l'article

Je me lance donc dans la rédaction d’une présentation rapide, extrêmement simple, pour la diffuser auprès d’un public restreint mais hétéroclite.


Allez zou, j’ouvre ce bon vieux PowerPoint windows 3, modifié 11. Suivons les conseils de Guy Kawasaki : 10 slides, 20 minutes, 30 points pour la taille de la police, que l’on adapte au projet, 5 slides, 10 minutes et 20 points et on sera déjà pas mal.


Constat : plus de cash donc plus de pourboire.

Solution : dématérialiser la pièce de monnaie.

Comment : avec un QR code relié à une application.

Pour qui : Serveurs, femmes de chambres et surtout sans abri.


Je fais une présentation simple. Elle s’adresse à n’importe qui, des personnes qui n’ont jamais entendu parler du projet bien sûr. Elle doit être rapide et surtout compréhensible de tous. Je veux qu'en 2 minutes ils aient compris le principe, le problème et la solution. Et surtout je veux savoir s’il se serviraient de notre solution. Je commence à l’envoyer à mon entourage très proche. À d'autres je leurs fais une présentation et pour certains je les laisse avec la présentation sur une tablette pour voir leur réaction en direct.


Il faut que je vous dise, savez-vous ce qu’il y a de pire lorsque vous questionnez votre entourage ? C’est la gentillesse, la bienveillance, la peur de froisser ceci vous est particulièrement néfaste et surtout à votre projet. À ce moment, vous avez besoin de baffes, d’avocats du diable, d’empêcheurs d’avancer, de septiques, de chercheurs de m… mais surtout pas de bienveillance. Alors soyez sympa, si un jour votre neveu, votre fille, la cousine de votre belle-fille ou tout simplement votre femme ou votre mari, vient vous solliciter pour un projet, quel qu’il soit, pièce de théâtre olfactive, épicerie roulante statique, exposition de peinture à base de fruits frais, parc d’attractions pour chiens, clinique de la chaussure ou autre Procto-truck, soyez incisif, dites vraiment ce que vous pensez, démontez le projet brique par brique, mettez le projet à mal. Bon allez-y molsif tout de même, d'aucuns pourraient être sensibles. Mais surtout pas de bienveillance, pas de dégoulinance, n’ayez pas peur de froisser même un peu, ils vous diront merci plus tard.


Prochain chapitre : C’est top, on fonce.


À très bientôt,

Olivier, Happyness Rédacteur chez onetip

onetip
2 min de lecture

onetip #4: Rédaction du projet

Mercredi 4 mai, Toulouse, rédaction du Projet X7r64-901KYO-Tip. Bon ok, appelons-le Projet Tip, ce sera plus simple.

Lire l'article

Pour commencer, commençons par le commencement. Je dois rassembler mes idées. Oui certes j’ai une trame, je vois déjà l’idée, mais cela ne suffit pas. Partir de zéro, c’est comme acheter un plateau dans un immeuble et dessiner les plans du futur appartement. Certains sont incapables de se projeter, alors que d’autres voient les pièces se dessiner devant leurs yeux juste en regardant une dalle de béton, la cuisine, le séjour, les couleurs, l’ambiance. On mettra un carrelage en carreaux de ciment dans la cuisine et une structure d’atelier pour la séparer de la salle à manger qui, elle, sera exposée plein Est. Le salon aura un plafond en caisson pour rabaisser la pièce avec des canapés extra-larges pour donner une impression de cocon. On peut le voir ou pas. Pour un projet d'entreprise, il y a un peu de ça. Je vois l'utilité du projet, quel est la solution qu'il apporte au regard de quel problème. Je vois déjà comment sera l'application et les options qui seront développées au fur et à mesure. Les premières options incontournables de l'application et celles qui pourront attendre. Pour qui elle sera destinée, ok les femmes de chambre, mais aussi à un jeune guide touristique d'un jour qui cherche un peu d'argent de poche, à mon vendeur de fruits au bord de la route et pourquoi pas aussi et surtout aux sans-abris qui voient les dons fondre comme les glaciers en été ? Plus je réfléchis, oui ca m'arrive, et plus je vois des possibilités d'utilisations à cette application.


Mais avant toute chose je dois répondre à une bonne série de questions. Pourquoi je me lance à nouveau ? Ai-je l’expertise ? Avons-nous l’équipe ? Y a t-il un marché ? Liliane va-t-elle me suivre ? Aime-t-on les insomnies à ce point ? Mon ulcère est-il d’accord ? Prêt pour faire à nouveau 671 présentations et 453 business plans ? Est-ce que l’on va s’éclater ? Va-t-on se faire plaisir ? Autant de questions que l'on doit tous se poser. Une réponse déjà à toutes ces questions : le bonheur n’existe que dans les projets, aussi petit soient-ils, ils apportent les raisons d’être, donc le bonheur. Fermons les parenthèses philosophiques qui ne seront, je vous rassure, pas très nombreuses et passons aux choses sérieuses.


Le plus simple, je rédige rapide ce que j’imagine et petit à petit le projet prendra forme et s’agrémentera de nouvelles idées. Le but de la rédaction de ce projet est de pouvoir présenter l’idée à un parfait inconnu et qu’il puisse le comprendre en deux minutes. J’ouvre une feuille Word et je me lance.

Olivier de Guyenro devant son ordinateur travaillant sur le projet onetip

Je cherche un titre. C’est plus fort que moi, lorsque je commence un nouveau projet il me faut un nom, un titre, un truc. Avant toute chose je dois trouver un nom à mon projet. Je ne peux pas commencer si je n’ai pas un nom. J’ai besoin d’un nom qui claque et qui me motive. On évitera « Donner un pourliche en 3 clics » ou « clic moi le pourboire » « scan me up before you go-go » « le clic est dans le détail » « clic tip », non je cherche un vrai nom. Un nom anglais, car on va aller à l’international bien sûr, mais un nom que nous français, nous arriverons à prononcer, pas comme un certain « Liquedingueu ».

Pourboire se dit Tip, donc il me faut tip dedans, « TipTop » « Okitip » « easytip » « tiptiptiphurra » « gotip » bon je ne l’ai pas. Pour l’instant on va lui donner un nom de code « easytip ». Le nom est déjà pris, je verrai plus tard.


Poser d’abord le constat, le problème que l’on a eu et que l’on veut résoudre. Mon souci ce jour-là, le manque de cash. Ok, mais ce phénomène est-il répandu, ou cela est-il juste une vue de mon esprit qui ne peut s’empêcher de régler des problèmes que les autres n’ont pas ? Très vite, je m’aperçois que je ne suis pas le seul à ne plus avoir de cash. Je paye même ma baguette de pain avec mon téléphone alors que je n’aurais jamais imaginé cela il y a encore un an. Le constat a l’air d’être établi : nous n’avons quasi plus de cash sur nous. La génération des moins de trente ans, celle qui n’a pas connu Georges, n’a jamais de cash sur elle. Tout se fait par smartphone, virement ou autre neobanque, mais jamais de chéquier, jamais de bifton et encore moins de pièce, donc aucune possibilité de donner un pourboire à qui que ce soit.


Je cherche des articles sur l’argent liquide et sa disparition lente. Depuis 2020, pour la première fois, chaque année les banques suppriment un nombre important de DAB, environ dix pour cent par an. Face à un recul massif du cash en circulation et devant toutes ces nouvelles façons de payer, les DAB n’ont plus de raison d’être aussi nombreux. C’est déjà un signe. Bon ok plus de cash, mais pour ce qui est des pourboires ?


Prochain chapitre : Aller se faire battre !


À très bientôt,

Olivier, Happyness Rédacteur chez onetip

onetip
2 min de lecture

onetip #3: Mais d'où vous est venue cette idée ?

Le soir, un peu fatigué de ma balade Américano-cubaine, je suis heureux de rentrer enfin dans notre chambre.

Lire l'article

- Tu vois chérie, il faudrait une solution pour pouvoir laisser à notre femme de chambre un p’tit pourboire. Elle se décarcasse pour nous amuser et on ne lui donne rien. Faudrait un truc, une app simple qui nous permettrait de lui donner personnellement un pourliche.


À bien y réfléchir, les femmes de chambre n’ont jamais de pourboire. En effet, quand elles bossent les clients sont en vadrouille et quand ils rentrent le soir à l’hôtel, elles ne sont plus là. On ne les voit jamais. En plus, ici, un ou deux euros c’est énorme alors que pour les clients de l'hôtel, cela n’est pas aussi important.


Le lendemain, allongé sur ma serviette au bord d’une mer aussi bleue que le bleu des yeux de ma mie, voyant mon vendeur de cigares, qui me poursuit depuis notre arrivée et qui cherche à me vendre des barreaux de chaises pour quelques Euros, j’ai l’idée de créer onetip. Bon, à ce moment, je ne savais pas que l’application s’appellerait onetip.


L’idée, faire une application pour donner simplement un pourboire à une femme de chambre, payer une botte de cigares à Pépé sur la plage ou des fruits à ce vendeur croisé sur le bord de la route. Une application toute simple qui pourrait donner une petite somme en toute sécurité, sans contact, qui remplacerait la monnaie qui a disparu. Autant on n’a plus de cash, autant on a tous notre smartphone avec nous. On pourrait être sur une plage de naturistes qu’on aurait encore notre smartphone, je ne sais pas où mais on l’aurait mais on l'aurait. C’est bien la seule chose que l’on emmène partout et sûrement plus que belle-maman.

Couverture en forme de cygne lisant un livre à une peluche dans un hôtel, réalisé par le service d'entretien

Donc il faudrait développer une application qui permettrait de donner n’importe où à n’importe qui une petite somme pour payer un vendeur de fruits au bord de la route, mon vendeur de cigares sur la plage et surtout donner à ma femme de chambre un petit pourboire même si je ne la vois pas. Comment ? Simple, avec un QR code personnalisé qui serait relié à son compte bancaire. J’explique, le soir de retour dans la chambre on pourrait trouver sur la table de chevet ou sur l’oreiller, une carte postale sur laquelle on pourrait lire « Madame Untelle a fait votre chambre, si vous êtes satisfait laissez-lui un petit commentaire et un pourboire » et en dessous son QR code. On scanne son QR code, on voit la fiche de Madame Untelle, on sélectionne « donnez un pourboire », on valide le montant, on me demande si je veux laisser un petit commentaire et on envoie, et zou dans la fouille de Madame Untelle. Simple non ? Chacun aurait son QR code qui permettrait à n’importe qui de recevoir un ou plusieurs Euros de pourboire et ainsi remplacer le cash qui a disparu.


J’ai dit à Liliane « Fais les valises, on rentre à Toulouse ! ». Heu non, ça, c’était George qui avait dit ça à Liliane, mais pas de Cuba, de Corse. Petite blague que les moins de 20, non plutôt, que les moins de 50 ans ne peuvent pas connaître…


Prochain chapitre : Rédaction du projet


À très bientôt,

Olivier, Happyness Rédacteur chez onetip

onetip
2 min de lecture

onetip #2: Restons ouverts au monde qui nous entoure.

Cuba, le 1er mai 2022, il est 18h nous rentrons à notre chambre. Nous avons sillonné La Havane de long en large...

Lire l'article

Nous avons donc sillonné la Havane toute la journée avec une super guide qui parlait parfaitement le français, Rosa. Rosa a mille anecdotes à nous raconter sur Cuba, sur les hôtels qui ont tous fermé à cause du même pangolin et qui n’ont toujours pas rouverts, sur les manifestations du 1er mai encadrées par l’unique syndicat à Cuba et qui ne te laisse pas le choix sur ta présence ou pas dans le cortège du 1er mai, sur la place de la Révolution qui est si grande que l’on pourrait y faire tenir tous les Cubains dessus, mais quand je dis tous les Cubains, je parle même des exilés et des disparus, cette place qui a vu un jour Fidel Castro prononcer le discours le plus long du monde, sept heures quinze minutes sans aucune interruption, Rosa ne s’arrête plus. Il fait une chaleur de gueux et nous nous arrêtons dans l’un des nombreux bars qui porte le nom d’Ernest H. afin de s’envoyer un Daïquiri pour les filles et un Papa Doble pour moi. Bien-sûr nous déjeunons au Buena Vista Social Club après avoir fait une demande expresse de crédit à notre banque, de vrais bons touristes quoi. Et c’est là que Rosa nous explique qu’à Cuba, c’est le Dollar et encore plus l’Euro qui sont rois. Le Pesos cubain n’ayant quasi aucune valeur, les Cubains n’en veulent pas. Pour information, le cours du Pesos cubain varie d’une rue à l’autre et surtout de la banque à la rue. Dans les banques, pour un Euro ils vous donnent vingt-cinq Pesos alors que dans la rue, pour un Euro on vous donne cent Pesos, ça ne fait pas pareil Monsieur le Banquier.


Rosa, pour l’occasion, nous fait un prix pour la journée si nous payons en Euro. Elle ne veut même pas entendre parler du Pesos. Malheureusement pour nous, comme des bougres d’ânes d’idiots de touristes occidentaux, nous sommes arrivés à la Havane, avec 3 t-shirts, deux maillots et une paire de tongs, mais surtout sans aucun Euro en poche, rien, peau d’balle pas un seul fifrelin, des touristes quoi.


- Mais non, y a pas besoin de prendre du cash, avec la CB ça va passer tout seul.


Eh bien non, à Cuba, ce sont les billets, le flouze, l’artiche, la fraîche, le liquide, le schwartz, les brouzoufs, l’oseille bref le cash qui fait loi. Et notre guide nous l’a bien fait comprendre, « T’as des Euros t’es le roi Pedro, t’as des Pesos t’es le roi Bolos » ou un truc comme ça. Je négocie la journée, mon souci c’est que je n’ai qu’un pauvre billet de vingt Euros et deux de dix en poche. Inutile de vous dire que je ne suis pas en position de force. Je lui dois cent cinquante Euros. Il manque donc cent dix Euros mon cousin. Et c’est pour cela que je me retrouve le lendemain à faire du shopping avec Rosa afin de dépenser cent dix Euros dans les magasins de son choix. Oui car à Cuba, certaines boutiques ne prennent pas les Pesos mais volontiers les Euros en carte bleue. Donc me voilà à faire du lèche-vitrine avec Rosa à bord de notre Ford rouge pompier de 1958. On achète en quantité astronomique, bière, rhum, serviette de plage, crème solaire, poulet congelé, ce qui est très rare à Cuba, des paquets de 10 kilos de poulets congelés arrivés direct de Russie, du vernis rouge, encore de la bière et du rhum et pour finir on s’arrête à la boutique de notre hôtel pour acheter des cigares et encore de la bière. J’ai l’impression qu’ils aiment bien la bière. Rosa m’explique qu’elle va organiser l’anniversaire de son père dans huit mois, il faut donc de la bière, beaucoup de bière. C’est bien simple, le soir il n’y a plus une bouteille de bière dans un rayon de 50 kilomètres autour de notre hôtel. Bon, ce n’est pas dur non plus, ils n’ont pas des stocks de dingue. Avant d'arriver à l'hôtel, on fait une dernière halte auprès d'un vendeur de fruits au bord de la route. Elle le connait bien et sa production est incroyable, suivant ses dires. Maintenant, besoin de cash pour le payer et ni elle ni moi n'en avons sûr nous, dommage.


Homme tenant une papaye dans sa main devant la fenêtre d'une voiture
Homme tenant une papaye dans sa main devant la fenêtre d'une voiture

En résumé, plus beaucoup de cash, pas envie de Pesos, niveau de vie pas très élevé, pas ou presque pas de pourboires, impossibilité d'acheter à des venderus de rues, y a un truc à faire…


Prochain chapitre : Mais d'où vous est venue cette idée ?


À très bientôt,OlivierHappyness Rédacteur chez onetip

onetip
2 min de lecture

onetip #1: Nouveau projet ! Nouvelle communication

Nous sommes sur une très belle histoire, qui n’aurait sûrement pas vu le jour, ou du moins pas dans ces conditions...

Lire l'article

Je vais donc essayer de vous faire vivre, de l’intérieur, le parcours de notre nouveau projet, de l’idée à la mise sur le marché. On en a au minimum pour 12 mois. N’ayez crainte, je ne vais pas réécrire l’encyclopédie universelle du petit créateur d’entreprise en dix-huit volumes, non, juste notre histoire en toute simplicité. Je vais faire cela de manière amusante parfois, cynique de temps en temps mais surtout sans être barbant ni pompeux, mais en étant le plus transparent possible.


Je vous ferai part des évolutions du projet, vous serez au cœur de la machine. Vous aurez, en avant-première, nos succès, mais aussi nos doutes, nos échecs et nos victoires. Je vais vous raconter cela à ma manière, sans se prendre au sérieux, même si tout cela l’est et sera rigoureusement authentique.


On n’est pas là non plus pour se créer des angoisses ou se faire des nœuds au cerveau. Pas d’autosatisfaction, on en n’a pas les moyens, ni d’autoflagellation, les autres s’en chargent déjà largement. Soyons simples c’est déjà bien assez compliqué comme cela. Bref que du vécu, écrit au fil de l’eau. Attention, nous privilégions ici une écriture soignée, j’écris comme je parle, parfois en alexandrin, souvent en vers et contre tous, en deux mots, un langage châtié, non de nom de b …


On se retrouve pour le premier chapitre : Restons ouverts au monde qui nous entoure.


À très bientôt,Olivier

Happyness Rédacteur chez onetip